mardi 27 mai 2008
Je quitte le PC pour le reste de la semaine pour me reposer, j'ai la crève (c'est ça de rester le cul en l'air sous la pluie). Un peu d'antibiotique, Brison va retourner dans ses appartements pour me laisser tranquille.
Par contre le doc était satisfait : j'ai perdu 300g depuis la dernière fois, maintenant je pèse 2.7kg, "une silhouette athlétique" qu'il a dit :-)
Allo véto, bobo...

Depuis quelques jours que j'suis pas bien, pas faim, mauvaise humeur. En plus les vieux me gavent avec du jus d'ananas, j'aime pas me faire gaver, encore moins coincée sous une serviette ou en transe. Ok pour les bienfaits de l'ananas, mais ça suffit pas...
dimanche 25 mai 2008
jeudi 22 mai 2008
par La Rédaction du DL | le 20/05/08 à 06h30
Le lapin de batterie dans les étals suisses, c'est fini. Depuis le mois de mars, les grands noms de la distribution helvète ferment un à un la porte aux éleveurs qui pratiquent l'élevage intensif.Point de départ de la fronde : la diffusion d'un reportage sur une télé alémanique. Ce dernier dénonçait les conditions d'élevage de lapins italiens. Dès le lendemain de la diffusion, Manor retirait de ses étals sa viande d'origine italienne.
Depuis, appuyé par le lobbying de Kagfreiland, association suisse de protection des animaux, d'autres chaînes d'hypers et de supermarchés suisses ont suivi. Notamment Migros, Coop, Denner ou plus récemment Globus.
Et cet embargo sur le lapin italien vaut aussi pour la France. Normal, « entre Italie et France, les conditions d'élevage sont similaires », explique Brigitte Gothière, porte-parole de L214, une association de protection des animaux d'élevage. Le sujet, elle le connaît bien. L'association vient de rendre publique une enquête menée durant six mois sur la filière lapine. Ses conclusions ? « Édifiantes ! » Promiscuité, apathie, développement de maladies... « L'élevage en cage ne peut répondre aux besoins des animaux », tranche Brigitte Gothière. L'élevage en cage concerne pourtant selon elle 99 % de la filière française.
« D'un point de vue purement commercial, c'est mauvais »
À Genève, dans les rayons de Manor, ce sont aujourd'hui les lapins hongrois qui se sont substitués à la viande d'origine italienne et française. Réactions dans l'hyper ? Bien moins achalandé au moment de Pâques, puisque Manor venait tout juste de révoquer son ancien fournisseur, les clients ont fait grise mine.
Un choix éthique qui se traduirait donc en flop commercial ? « Quand on l'explique aux clients, ils finissent par comprendre », défend Walter Manzi, responsable de l'alimentation dans le grand magasin genevois. Il l'admet pourtant : « D'un point de vue purement commercial, c'est mauvais ». Tant pis. L'enseigne ne reviendra pas en arrière. « Le plus important reste la transparence. À long terme, notre engagement est la meilleure solution. C'est en tout cas notre philosophie. »
Une éthique toute suisse que les associations de protection peinent à voir transposer en France. «Les normes suisses sont bien plus élevées qu'en Europe et il y a une autre mentalité, une meilleure adéquation entre comportements d'achats et conscience citoyenne», poursuit Brigitte Gothière.
N'empêche que d'un point de vue économique, l'élevage français risque d'en pâtir. Selon L214, depuis que l'Allemagne a durci ses critères d'exigence sur le bien-être des animaux, les exportations françaises de lapins auraient chuté de 20 %.
Encore plus radical, l'Autriche a purement et simplement interdit depuis fin 2007 la commercialisation de bêtes élevées en cage. Une première.
Source : http://ledauphine.com/
lundi 19 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
Le corbeau et le lapin
Ne foutait rien de la journée.
Le lapin voyant le corbeau
L'interpella et lui dit aussitôt :
Moi aussi, comme toi, puis-je m'asseoir
Et ne rien foutre du matin jusqu'au soir ?
Le corbeau lui répondit de sa branche :
Bien sûr, ami à la queue blanche,
Dans l'herbe verte tu peux te coucher
Et ainsi de la vie profiter.
Blanc lapin s'assit alors par terre,
Et sous l'arbre resta à ne rien faire,
Tant et si bien qu'un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S'approcha du rongeur en silence,
Et d'une bouchée en fit sa pitance
* Moralité *
Pour rester assis à ne rien branler
Il vaut mieux être très haut placé....
mercredi 14 mai 2008
mardi 13 mai 2008
lundi 12 mai 2008
Le soleil, la mer et le jardin
vendredi 9 mai 2008
Les cochons d'Inde devront être achetés par paires

Votre enfant aimerait un cochon d'Inde? Réfléchissez-y à deux fois. Car ce petit mammifère détestant la solitude, ce n'est pas un, mais deux cobayes que vous devrez acheter. Vous songez à vous rabattre sur les perruches? Attention: ces oiseaux également ne pourront plus, à l'avenir, être détenus individuellement.
Désormais, en Suisse, les détenteurs de bêtes seront en effet soumis à une législation plus précise. La nouvelle ordonnance sur la protection des animaux adoptée par le Conseil fédéral entrera en vigueur le 1er septembre. En même temps que la loi éponyme, adoptée en 2005 par le parlement. Pourquoi ce délai? Car on ne badine pas avec les bêtes, note la ministre Doris Leuthard: «Ce sujet très émotionnel a suscité plus de 500 prises de position lors de la consultation, il a fallu du temps pour aplanir les différents avis.»
«Nous ne visiterons pas tous les appartements»
Parmi les mesures les plus importantes, le nouveau règlement stipule que tous les futurs propriétaires de chiens, ainsi que ceux d'animaux sauvages, devront suivre des cours. De même, la formation des éleveurs et des transporteurs sera professionnalisée. Pour le reste, la nouvelle ordonnance édicte une foule de conditions particulières (voir ci-contre). Enfin, pour vérifier la bonne marche des opérations, «un service spécialisé en protection des animaux sera mis sur pied dans chaque canton», écrit l'Office vétérinaire fédéral (OVF). Mais ces visites concernent surtout les éleveurs, commerçants ou transporteurs. «Car nous ne visiterons pas tous les appartements», a précisé Doris Leuthard. Celle-ci a évoqué, au passage, le grand écart auquel est soumis le gouvernement en la matière, entre les organismes de protection des animaux et les éleveurs. D'ailleurs, les réactions ne se sont pas fait attendre.
Ainsi, du côté de l'Union suisse des paysans (USP), le directeur Jacques Bourgeois se dit «étonné par ce tour de vis, notamment au niveau du bétail bovin, pour lequel de plus grandes surfaces sont exigées». Le Fribourgeois juge ces directives d'autant plus préjudiciables «dans la perspective d'un accord de libre-échange avec l'UE, puisqu'elles péjorent la compétitivité des agriculteurs suisses». Et les bêtes sauvages? A l'inverse, la Protection suisse des animaux (PSA) est «satisfaite que l'ordonnance et la loi entrent enfin en vigueur», note la vice-présidente Birgitta Rebsamen. Ajoutant: «Nous saluons aussi les progrès dans la protection des animaux de compagnie.»
En revanche, la PSA trouve à redire, notamment, «en matière de recherche sur les animaux de laboratoire ou de protection des bêtes sauvages dans les zoos ou les cirques. Là, le texte ne va pas assez loin.» Source : http://www.tdg.ch/